Archive for janvier, 2011

Assurance vie et régime matrimonial : comment les adapter au mieux ?

samedi, janvier 29th, 2011

Fortuneo tente l’assurance en ligne

vendredi, janvier 28th, 2011

La célèbre banque en ligne étoffe ses services et propose depuis le 6 décembre la première assurance auto sur Internet. Toutefois, Fortuneo a décidé de l’écarter des comparateurs. (suite…)

Bien s’assurer en tant que jeune conducteur de deux-roues

vendredi, janvier 28th, 2011

Comme tous les véhicules terrestres à moteur, les deux-roues doivent faire l’objet, conformément à l’article L 324- 1 du Code de la Route et à l’article L 211-1 du Code des Assurances, d’une assurance responsabilité civile garantissant les dommages causés aux tiers lors de leur utilisation, le non respect de cette formalité étant puni, en accord avec l’article L 324-2 du Code de la Route, d’une amende pouvant aller jusqu’à 3 750 € à laquelle peuvent venir s’ajouter une suspension du permis de conduire, pour une durée maximale de cinq ans, et la confiscation du véhicule. (suite…)

Propriétaire de deux-roues, n’oubliez pas votre antivol

vendredi, janvier 28th, 2011

Répondant aux mêmes exigences que les assurances auto, les garanties souscrites pour une moto offrent aussi la protection contre le vol de son véhicule, représentant un plus particulièrement considérable, dans la mesure où chaque année près de 100 000 deux-roues sont volés, représentant environ 25 % de l’ensemble du parc français. Si certaines personnes pourraient être tentées de négliger cette éventualité, avançant le fait que leur deux-roues est maintenant âgé, il convient de souligner que ceux-ci font, bien souvent, l’objet de vols en vue de leur revente en pièces détachées, rendant ainsi ces véhicules particulièrement attractifs pour les voleurs. (suite…)

Pourquoi souscrire une assurance habitation ?

vendredi, janvier 28th, 2011

Obligatoire pour les locataires, la souscription d’une assurance habitation reste aussi très conseillée pour les propriétaires qui se voient ainsi protégés de l’ensemble des risques encourus par leur bien immobilier. Généralement qualifiée de « multirisques habitation », ces garanties couvrent, en effet, de nombreux événements pouvant survenir et endommager un logement, c’est ainsi le cas pour les incendies, les tempêtes, les inondations, les dégâts des eaux mais aussi d’autres types de problèmes pouvant se présenter, à l’image d’un vol, ou encore les éventuelles blessures causées au propriétaire lui-même, à des tiers ou encore à des animaux.

Couvrant la plupart des dangers que peut renfermer une maison, la réparation de tous les dommages subis, suite à l’un d’eux, aussi bien par l’immeuble lui-même que par le mobilier qu’il renferme, sont alors pris en charge par ce type de contrats, de la même manière que les soins nécessaires à la guérison d’éventuelles blessures présentées par l’un des occupants du bien à l’origine de l’incident ou par des personnes extérieures.

Cette assurance présente, bien entendu, un coût qui varie en fonction de la taille du logement ainsi que de son niveau de gamme ou encore du lieu dans lequel il se situe et également du mobilier qui l’aménage. Impliquant le versement d’une cotisation généralement semestrielle voire annuelle, ces formules permettent donc de bénéficier d’un maximum de garanties, assez abordables, au final, lorsqu’il s’agit de les comparer aux frais que peuvent engendrer les dégâts auxquels est confronté un immeuble. Le montant des franchises, c’est-à-dire des sommes, plus ou moins élevées, qu’il convient de régler, lorsqu’un événement s’est produit, afin de débloquer les prestations prévues, peut aussi avoir une influence sur la valeur des primes.

Lors de la survenue d’un sinistre, le propriétaire ou le locataire doit alors en informer, au plus vite, l’assureur qui, lorsqu’il aura reçu toutes les preuves dont il a besoin, pourra déclencher la procédure permettant à l’assuré de se voir rembourser les biens endommagés, selon les termes prévus dans le contrat. Certaines formules incluent, par exemple, une indemnisation à hauteur de la valeur à neuf pour les appareils électroménagers ou vidéo notamment, tandis que d’autres diminuent les sommes délivrées en fonction de la vétusté de ceux-ci. Comme le souligne Sophie Chabanas, responsable chez AXA, « l’assuré doit documenter le plus précisément possible le dégât subi. Il peut […] fournir des factures, des tickets de carte bancaire, mais également des photos ou des témoignages permettant de prouver que les biens détruits ou volés lui appartenaient ».

Un expert évalue ensuite le montant des prestations qui seront versées, en fonction des différents éléments apportés et ne visite que rarement les lieux, à moins que l’événement ait été suffisamment important, auquel cas l’assuré doit veiller à ce que le bien touché soit conservé en l’état, autant que possible, afin que le professionnel puisse se rendre réellement compte de l’ampleur véritable des dégâts occasionnés pour qu’il ajuste, au mieux, l’indemnisation qui sera délivrée et qu’il est le seul à pouvoir déterminer.

Navigation de plaisance, êtes-vous bien assurés ?

vendredi, janvier 28th, 2011

Contrairement aux autres moyens de transport, les bateaux obéissent à une législation particulière, entraînant notamment l’absence de l’obligation de souscrire à une assurance couvrant les dommages pouvant être causés aux tiers à l’occasion de leur utilisation, comme le prévoient les articles L 324-1 du Code de la Route et L 211-1 du Code des Assurances, pour les véhicules terrestres à moteur. Toutefois, étant donné les risques encourus par ces embarcations et les dégâts que celles-ci peuvent causer aux biens et aux personnes, la souscription d’une telle garantie reste particulièrement recommandée, d’autant plus que, depuis une dizaine d’années maintenant, l’utilisation de bateaux de plaisance a connu une forte démocratisation.

Si, généralement, l’assurance multirisques habitation souscrite pour sa résidence principale permet de bénéficier d’une garantie en responsabilité civile pour l’ensemble des activités de loisirs, il convient toutefois de vérifier que les limitations introduites, dans le cadre de la navigation de plaisance notamment, restent compatibles avec l’embarcation utilisée, celle-ci se trouvant, en effet, souvent restreinte à une certaine catégorie de bateaux uniquement, distingués alors par leur longueur et par la puissance de leur moteur. Dans le cas où celle-ci ne prendrait pas en charge l’activité choisie, une assurance spécifique, dénommée assurance plaisance, doit donc être mise en place.

De la même manière, l’assurance multirisques habitation couvrant, en principe, la famille du souscripteur, peut, en revanche, exclure les autres tiers qui pourraient faire partie de l’équipage du bateau, c’est pourquoi il est également essentiel de bien veiller à ce que ceux-ci soient bien pris en charge, afin de qu’ils disposent effectivement, en cas d’incident, d’une indemnisation. Dans le cas contraire, il reste toujours possible de recourir à une assurance individuelle accident, permettant alors de protéger aussi bien le pilote que ses passagers.

Lorsque l’ensemble des personnes utilisant le bateau bénéficie d’une couverture, il est alors nécessaire de vérifier que l’embarcation elle-même présente aussi une bonne prise en charge ; en effet, la survenue d’un incident entraîne généralement des frais relativement élevés pour lesquels il est préférable d’être bien protégé, la souscription d’une « assurance corps » s’avérant donc être indispensable. Le vol, restant également un risque à envisager, requiert lui aussi de sérieuses garanties, déclinées en trois formules « vol total », « vol partiel » et « vol moteur », offrant, pour chacune d’elles, des protections bien spécifiques.

Pouvant donner lieu à un certain nombre d’incidents relativement coûteux, la navigation de plaisance a également permis de mettre en place des garanties optionnelles, comprenant notamment une assistance juridique, la possibilité de bénéficier d’une assistance personnelle ou encore la prise en charge de toutes les opérations mises en œuvre pour l’enlèvement d’une épave gênant la circulation maritime. Afin de bénéficier de la protection la plus étendue, il est aussi conseillé de prévoir que le bateau soit également couvert lors de ses déplacements à terre, requérant, pour ce faire, la vérification du contrat d’assurance automobile et éventuellement la souscription d’une extension de celui-ci pour la remorque.