Archive for février, 2011

L’assurance décès et prévoyance

dimanche, février 27th, 2011

La situation de crise actuelle rend l’avenir de nos proches plus que jamais incertain, constituant même, aujourd’hui, une des principales préoccupations des français. Ainsi, face aux difficultés de la vie, il convient d’anticiper pour pouvoir aborder la vie plus sereinement. L’assurance décès et prévoyance peut être une solution envisageable pour se prémunir des difficultés financières liées à ce que l’on appelle communément les « accidents de la vie ».

Même si le régime de Sécurité Sociale prévoit déjà l’indemnisation de ses assurés en cas d’« Incapacité Temporaire Totale de travail », d’« Incapacité Permanente Totale de travail », de« Perte Totale et Irréversible d’Autonomie » ainsi qu’en cas de « décès », compte tenu du niveau des prestations accordées, un complément personnel peut s’avérer très utile voire nécessaire. Ainsi, l’assurance décès et prévoyance peut parfaitement remplir ce rôle, l’assureur s’engageant, en cas de décès ou de perte d’autonomie de l’assuré, à verser un capital, au(x) bénéficiaire(s) du contrat, dont la valeur est déterminée lors de la souscription, en adéquation avec le montant des cotisations versées.

La tranche d’âge, entre 18 ans et 65 ans, permettant de souscrire de tels contrats, étant relativement importante, il convient de pouvoir adapter son choix, quant aux risques à couvrir, en fonction de sa situation personnelle ; en effet, une personne célibataire privilégiera, sans doute, davantage un contrat lui permettant de compléter ses prestations en cas d’« incapacité de travail », tandis que, pour un père de famille, un contrat prévoyant le versement d’un capital, en cas de décès, pourra s’avérer plus attractif.

Il existe, en matière d’assurance décès et prévoyance, deux types de contrats distincts, les contrats appelés « temporaire décès » et les contrats appelés « vie entière ». Le contrat « temporaire décès », formule la plus répandue, garantit le versement du capital dès lors que le décès a lieu pendant la période de couverture du contrat, il s’agit d’un contrat « à fonds perdus », dont le capital est fixé dès la souscription. Le contrat « vie entière », quant à lui, prévoit le versement du capital quelle que soit la date du décès, il s’agit là d’une garantie immédiate et viagère, qui ne tient pas compte de l’évolution de l’état de santé du souscripteur et dont les cotisations versées génèrent des intérêts permettant ainsi d’augmenter le capital. Ce type contrat n’est pas, contrairement aux autres, limité à 65 ans et permet également, à tout moment, de disposer d’une valeur de rachat.

Les contrats d’assurance décès et prévoyance sont d’autant plus intéressants qu’ils sont exonérés des droits de succession et de toute fiscalité (dans les limites fixées par les articles 990 I et 757 B du Code Général des Impôts), et qu’ils n’ont pas non plus à être inclus dans l’actif successoral de la personne décédée.

Le montant des primes, dans ce type de contrats, reste toutefois lié à l’âge et à l’état de santé du souscripteur. Ainsi, pour un assuré jeune et en parfait état de santé, le montant des cotisations sera moins important que pour un assuré plus âgé présentant des antécédents médicaux. Pour se prémunir de tous désagréments, l’assureur fait remplir une « déclaration du risque » par l’assuré, et peut également, dans certains cas, demander à ce dernier de se soumettre à des examens médicaux complémentaires pour confirmer les éléments qu’il avance. En cas de fausse déclaration intentionnelle du risque, le contrat est purement et simplement annulé. En revanche, si la mauvaise foi du souscripteur n’est pas prouvée, le contrat restera tout à fait valable.

Même si tous les contrats d’assurance décès et prévoyance comportent des similitudes, il convient, tout de même, de bien étudier les différentes offres, le faible montant des cotisations ne devant pas être le seul critère de choix puisqu’il risquerait d’empêcher le souscripteur de bénéficier d’une formule beaucoup plus adaptée à sa situation personnelle.

L’assurance décès April

dimanche, février 27th, 2011

Créé en 1988, par Bruno Rousset et Xavier Coquard, le groupe April, spécialisé dans le domaine des assurances, distribue plusieurs sortes de produits : santé, prévoyance, assurance de prêt, assurance pro…

Dans le cadre de l’assurance décès, April présente trois offres distinctes, chacune d’elles s’adressant à un public précis. Ainsi, la formule Protection Tempo, dont l’âge d’adhésion à la garantie décès reste limité à 64 ans, avec une couverture jusqu’à l’âge de 74 ans, permet d’opter pour un capital compris entre 15 000 € et 750 000 € ; ce produit peut, par ailleurs, être complété par une assurance Invalidité Absolue et Définitive ainsi que par une assurance Invalidité Permanente Totale, dès lors que l’épargnant a moins de 59 ans, celles-ci restant valables jusqu’au 60e anniversaire de l’assuré. La deuxième offre, Tempo Flash, dont la souscription est réservée aux moins de 55 ans, ouvre l’accès à un capital compris entre 15 000 € et 100 000 € et inclut une garantie Invalidité Absolue et Définitive. Si les personnes exerçant une profession à risques ne peuvent profiter de ces deux offres, les non-fumeurs se voient, pour leur part, accorder une réduction de 20 % ; les femmes, quant à elles, bénéficient également d’un tarif préférentiel, ces deux formules leur permettant de prétendre à une remise pouvant s’élever jusqu’à 34 %. Les formalités médicales demandées, avant toute signature de contrat, restent liées à l’âge du souscripteur ainsi qu’au montant du capital ; elles sont cependant relativement simples, puisque bien souvent une déclaration d’état de santé semble suffisante. Ces deux offres prévoient également une option permettant de doubler le montant de la prime versée dans le cas où le décès de l’assuré surviendrait accidentellement. Le troisième produit proposé, Tempo Senior, se distingue des précédents par plusieurs points ; accessible jusqu’à 75 ans, le capital proposé varie en fonction de l’âge du souscripteur. Ainsi, les moins de 55 ans, se voit proposer un montant compris entre 22 868 € et 762 245 € ; au-delà du 55e anniversaire, le seuil minimum descend à 15 245 € tandis que le plafond maximum reste inchangé. Passé 75 ans, le capital assuré au départ diminue de 5 % par an pouvant descendre jusqu’à un minimum de 38 % du montant initialement prévu. Si la garantie décès ne comporte, dans ce cas-là, aucune limite d’âge, l’assurance Invalidité Absolue et Définitive, qui peut y être ajoutée, ne couvre que jusqu’à 65 ans.

Bénéficiant de la fiscalité préférentielle des assurances décès, les contrats April sont tout à fait intéressants dans la mesure où ils présentent des produits parfaitement adaptés à la situation de chaque souscripteur, proposant même une solution pour les plus âgés d’entre nous, souvent oubliés dans les offres concurrentes.

Une enquête, réalisée par Ipsos en juin 2007, montre que 92 % des deux millions d’assurés se disent satisfaits des produits ainsi que des services du groupe. Fort de ces résultats, April tend, depuis 2008, à développer son propre réseau d’agences, réparties sur l’ensemble du territoire français, pour satisfaire encore davantage les attentes de ses clients.

Le bilan de l’année 2010 fait apparaître une année difficile pour l’assurance vie

lundi, février 21st, 2011

Solution d’épargne toujours très appréciée des Français, l’assurance vie peine toutefois à résister aux nombreux coups qu’elle subit et notamment à la baisse des taux de rémunération de ses fonds en euros qui devient de plus en plus importante, d’année en année, le rendement 2010 apparaissant même comme le plus décevant de toute la décennie.

En effet, comme cela était prévisible, même si cela reste assez difficile à accepter pour les épargnants, le début d’année 2011 a permis, aux compagnies d’assurances, de dévoiler les performances des différents contrats qu’elles distribuent et de faire apparaître, malheureusement, une baisse moyenne de 0,30 %, faisant passer les résultats globaux des fonds en euros à seulement 3,40 %, contre 3,70 %, en 2009, et environ 6 %, en 2001.

L’année 2010 restera donc particulièrement mauvaise, dans ce domaine-là, la situation étant encore rendue plus difficile par l’augmentation de l’inflation qui, s’élevant désormais à 1,80 %, réduit d’autant l’intérêt de ce placement et se rapproche, en outre, inexorablement du seuil psychologique des 2 %.

Tous les contrats n’enregistrent cependant pas les mêmes baisses, les contrats les plus performants habituellement ayant même tendance à afficher les baisses les plus importantes, à l’image de la formule proposée par la Macif qui prévoit de servir un rendement moyen, pour 2011, de 2,85 %, avec Mutavie, contre 4,10 %, par exemple, pour Le Conservateur ; le contrat de l’AFER ayant, pour sa part, été marqué par une diminution de 0,60 % , l’une des plus importantes chutes du secteur, comme l’explique Gérard Bekerman, Président de l’association, « 2010 a été l’année de tous les défis. Sur le plan macroéconomique, les marchés vont incontestablement mieux, mais les Etats vont moins bien ».

Subissant donc la baisse des taux de rémunération des obligations d’Etat, les compagnies d’assurances vont devoir adapter la stratégie d’investissements, pour pouvoir continuer à proposer des performances attractives, tout en conservant un maximum de sécurité, rendant la tâche d’autant plus délicate, dans ce contexte tourmenté, où les Provisions pour Participation aux Excédents, les PPE, tendent également à se réduire, nombre de professionnels ayant dû y avoir recours pour lisser les résultats servis jusqu’alors.

A l’heure actuelle, le capital investi sur les fonds en euros semble donc rapporter de moins en moins et les investisseurs, encouragés, qui plus est, par les dernières mesures fiscales mises en place, pourraient bien venir à se tourner finalement sur les produits en unités de compte, également proposés, dans le cadre de ces contrats multisupports, permettant une épargne plus dynamique, en contrepartie cependant d’un risque accru.

L’investissement boursier pourrait également séduire plus d’un épargnant, dans la mesure où celui-ci est devenu aujourd’hui très facilement accessible, grâce aux courtiers en ligne qui permettent de passer des ordres à moindre coût, tout en bénéficiant d’une information claire et détaillée, avec la possibilité d’accéder à différents graphiques d’analyses et de pouvoir profiter, chez certains d’entre eux, d’une formation gratuite et de conseils avisés, formulés par des experts, toujours à l’écoute des questions de leurs clients.

Les perspectives d’avenir pour l’AFER suite à la publication de ses résultats

lundi, février 21st, 2011

Fondée en 1976, dans le but de fournir aux épargnants une solution d’investissement offrant le meilleur cadre fiscal, l’Association Française d’Epargne et de Retraite permet, depuis cette date, moyennant un droit d’entrée fixé à 20 €, de bénéficier de la possibilité de souscrire un contrat d’assurance vie multisupports présentant des conditions particulièrement attractives, les performances de son fonds en euros ayant aussi largement contribué à la réputation de l’association.

Si, durant de nombreuses années, le fonds en euros, proposé par l’AFER, dans le cadre de son contrat d’assurance vie, a représenté une référence en matière de rendement, force est de constater que les derniers chiffres communiqués ne lui permettent plus d’occuper ce rang, ceux-ci laissant, en effet, apparaître un taux de rémunération s’élevant à 3,52 % seulement, pour l’année 2010, et affichant donc une baisse de 0,60 % par rapport à la période précédente, alors que, dans le même temps, l’ensemble de la concurrence a réussi à maintenir le recul dans une fourchette comprise entre 0,20 % et 0,50 %.

Dans un contexte économique difficile, tant pour les marchés financiers, qui ont vu les rendements proposés par les obligations d’Etat baisser constamment depuis quelques années maintenant, que pour les particuliers, dont le pouvoir d’achat ne cesse d’être malmené, l’association se trouve aujourd’hui confrontée, à la fois, à la difficulté de dénicher des placements permettant de procurer les ressources nécessaires pour afficher des performances de premier plan et au risque de voir les épargnants réduire leurs investissements dans l’assurance vie pour réorienter les fonds sur des produits plus rentables.

Malgré le contexte économique défavorable, le contrat d’assurance vie, distribué par l’AFER, continue à séduire les épargnants, comme le montrent les quelques 33 523 nouveaux adhérents, marquant ainsi une progression de 6 % et permettant à l’association d’enregistrer des résultats de collecte supérieurs à la moyenne, grâce à une augmentation de 5,50 % de celle-ci, alors que le secteur n’affiche que 2,80 % de croissance, selon la Fédération Française des Sociétés d’Assurances, portant l’encours total géré par l’AFER à 45,9 milliards d’euros et la valeur de l’investissement moyen à 62 319 €.

Afin de faire face à ces difficultés, l’association a déjà établi une nouvelle stratégie pour 2011, consistant notamment à demander à l’assureur Aviva d’augmenter le nombre de placements en unités de compte disponibles pour ses adhérents, offrant ainsi à ceux-ci de nouvelles opportunités pour atteindre une plus grande rentabilité. Dans le but de faire face à une concurrence toujours plus féroce, à la tête de laquelle il est désormais possible de rencontrer les banques en ligne, l’AFER envisage aussi le lancement, dans le courant de cette année, d’un nouveau produit, orienté vers la prise en charge des personnes dépendantes.

Ayant longtemps représenté un modèle dans le domaine de l’assurance vie, le contrat proposé par l’AFER semble être, à l’heure actuelle,  en perte de vitesse, c’est pourquoi il paraît indispensable, comme l’a déjà annoncé Gérard Bekerman, le Président de l’association, pour cette dernière, de trouver de nouvelles perspectives de développement.

Le contrat d’assurance obsèques

jeudi, février 3rd, 2011

Les assurances n’ont jamais autant été demandées depuis quelques années. Une, notamment, commence à se développer doucement : l’assurance obsèques.

Elle permet en effet de décharger la famille ou les héritiers des formalités et choix pas toujours évidents à prendre lors de la survenue du décès, en assurant le règlement des frais mais en permettant également, pour certains contrats, de définir l’ensemble des modalités, que ce soit sur un plan matériel ou sur l’organisation de la cérémonie. Les proches sont alors libérés de cette charge pour vivre alors leur deuil sans entrave et interrogations de dernière minute.

Cette anticipation est donc aujourd’hui de plus en plus choisie, surtout passé un certain âge. Aujourd’hui, seulement 15 % des obsèques en bénéficient, un chiffre qui devrait augmenter rapidement au cours des prochaines années. De nombreuses offres de contrats sont en effet désormais proposées, offrant un vaste choix concernant le prestataire et les services garantis, à étudier avec attention avant d’opter pour l’un d’eux.

<>Les solutions en contrat d’assurance obsèques<>

Ces contrats d’assurance obsèques sont assimilés, depuis la loi de 1995, à un contrat d’assurance vie. Deux types de formules sont disponibles auprès des assureurs. La première est un contrat de ‘capital ou d’épargne en prévision d’obsèques’. Il propose à son souscripteur d’épargner de l’argent en vue de régler les frais d’obsèques. Il peut être souscrit par un versement unique du montant prédéterminé ou en plusieurs versements. Si ceux-ci ont une durée prédéterminée pour atteindre un certain montant, il s’agit alors de primes périodiques. S’ils sont réglés durant toute une vie, ils correspondent à des primes viagères.

Souscrit auprès d’un établissement financier, qu’il s’agisse d’une banque, d’un assureur ou d’une mutuelle, ceux-ci s’engagent, après le décès, à verser la somme ainsi épargnée à la société de pompes funèbres désignée ou au bénéficiaire inscrit au contrat. Dans tous les cas, les frais engagés pour l’organisation des funérailles ne pourront en aucun cas dépasser le montant du capital épargné et donc disponible au jour du décès, sous peine de frais supplémentaires pour les héritiers.

La seconde solution d’épargne consiste en un contrat de règlement de ‘prestations d’obsèques à l’avance’. Cette formule fait appel à l’assureur, mais aussi à la société de pompes funèbres. En effet, ce dernier détaille, avec le client, l’ensemble des services et prestations souhaités, le tout étant alors noté dans un contrat obsèques. Les termes définis ne sont cependant pas figés. En effet, les clients peuvent revenir sur leur choix à tout moment, en modifier les services, mais aussi le prestataire en en désignant un nouveau pour prendre en charge les obsèques.

<>L’exécution du contrat au jour du décès<>

Au jour du décès, les obsèques se déroulent alors telles que définies par le défunt. Reste cependant la question de l’augmentation des tarifs. La conséquence peut alors être la décision de diminuer ou abandonner certaines prestations afin de rester dans le prix alloué.

Afin d’éviter ce désagrément, certains contrats proposent de mettre de côté une certaine somme d’argent sans affectation précise. Les héritiers peuvent alors, le moment venu, en disposer et permettre notamment de compléter le capital d’origine en évitant toute modification de la cérémonie ou une facture de frais supplémentaires laissée à la charge de la famille.

Quel contrat d’assurance obsèques choisir ?

jeudi, février 3rd, 2011

Quelque deux millions de personnes ont aujourd’hui fait le choix de souscrire un contrat d’assurance obsèques. Ce chiffre ne cesse d’augmenter depuis maintenant plusieurs années. En effet, ces nouvelles assurances semblent rester la meilleure occasion de protéger sa famille ou ses héritiers au jour de son décès en prévoyant de son vivant le règlement des funérailles.

Une prévention financière qui peut aussi prendre un aspect plus pratique avec la détermination complète du déroulement des obsèques, comprenant les différents services et prestations choisis. Cette prévention permet alors de mettre en place le type de cérémonie souhaitée. En effet, en moyenne, le coût des obsèques s’élève à 4 000 euros. Un prix qui a d’ailleurs fortement augmenté en seulement quelques années.

Deux types de contrats sont proposés aux particuliers, les contrats de capitalisation – les plus prisés – et les contrats en prestations.

<>Les motifs pour souscrire un contrat d’assurance obsèques<>

Les motifs pour souscrire ce type de contrat d’assurance obsèques ne manquent pas. À commencer par une donnée très simple, celle de la personne en charge d’organiser, mais aussi de régler les obsèques. Si le ou la défunte est mariée, cette tâche revient au conjoint. À défaut, ce sont alors les parents, frères et sœurs ou enfants qui en ont la charge. En l’absence de famille, c’est alors au maire de la commune sur laquelle a eu lieu le décès d’organiser les obsèques.

D’autre part, le montant autorisé à être prélevé sur le compte courant du défunt pour le règlement d’une société de pompes funèbres s’élève à 3 050 euros. De même, les frais d’obsèques peuvent être déduits de l’actif de la succession à hauteur de 1 500 euros. Enfin, le dernier point à savoir est que la famille a six jours pour organiser la cérémonie, de quoi laisser le temps d’obtenir plusieurs devis pour un tarif réfléchi.

Aussi, le contrat d’assurance obsèques donne principalement l’occasion de prémunir la famille de ces frais en éliminant ce souci complémentaire.

<>Les différentes formules d’assurance obsèques<>

Deux principales solutions sont proposées aux particuliers par les assureurs. La première concerne un ‘capital ou d’épargne en prévision d’obsèques’. Il consiste en l’épargne d’une certaine somme d’argent, versée en un seul versement ou par le règlement de plusieurs échéances. Le bénéficiaire peut alors utiliser cette somme comme il le désire, d’où l’intérêt d’être vigilant en la personne désignée. En outre, le contrat est rémunéré. Reste cependant à vérifier le taux proposé avec celui de l’augmentation annuelle des tarifs des sociétés de pompes funèbres pour s’assurer que l’argent pourra couvrir les frais.

La seconde formule dite de ‘prestations d’obsèques à l’avance’ permet de programmer l’ensemble de la cérémonie en notant sur contrat l’ensemble de ses volontés. Ce contrat n’est cependant que très peu souvent proposé. Dans le cas d’un contrat garanti, le montant réglé préalablement par le défunt ainsi que les prestations sont alors assurées.