Archive for juin, 2012

Une assurance complémentaire santé adaptée aux besoins de chacun avec Malakoff Médéric

samedi, juin 16th, 2012

Issu de la fusion, le 1er juillet 2008, du groupe Malakoff, fondé à la fin du XIXe siècle par le Comité des forges, et du groupe Médéric, né de la volonté de certains dirigeants d’entreprises de participer à l’aide aux familles à la suite de la première guerre mondiale, le groupe Malakoff Médéric constitue, aujourd’hui, un acteur important de la protection sociale, proposant, au grand public, des solutions d’assurance, de prévoyance et de retraite complémentaire, et employant pour cela quelques 6 000 collaborateurs qui sont, comme le slogan de l’enseigne l’indique au grand public, « présents pour votre avenir ».

Apportant ainsi un soin tout particulier à l’élaboration de ces différents services, Malakoff Médéric dispose d’une gamme relativement complète de formules d’assurances complémentaires santé ; distribuées sous l’appellation « Ma Complémentaire Santé », celles-ci offrent, aux usagers de l’enseigne, une très grande souplesse, comprenant trois formules Économiques, couvrant les besoins les plus essentiels, deux formules Toniques, permettant de prendre en charge aussi bien les dépenses courantes que les imprévus, et enfin deux formule Énergiques, offrant une prise en charge optimale de l’ensemble des dépenses, y compris les soins dentaires et optiques, pour que chacun puisse adapter ces garanties à ses besoins.

Permettant, quelle que soit la formule choisie, d’ajouter à celle-ci des prestations supplémentaires, sous la forme de Renforts, les offres mises en place par Malakoff Médéric donnent ainsi la possibilité, aux familles et aux plus de 50 ans, de bénéficier d’une protection appropriée, la première solution garantissant notamment de profiter de remboursements sur les consultations de psychologues, d’homéopathes, de diététiciens et d’orthophonistes, alors que la seconde offre, quant à elle, une meilleure prise en charge pour les prothèses auditives et certains soins spécialisés non pris en charge par la Sécurité Sociale qui, constituant donc un avantage tout à  fait appréciable.

Offrant la possibilité, à ses usagers, grâce à son option Moderato, de ne cotiser que pour les remboursements qui leur sont vraiment utiles, Malakoff Médéric entend ainsi proposer, à ceux-ci, la couverture la plus adaptée à leurs besoins, leur permettant, de cette manière, de réaliser des économies pouvant s’avérer être extrêmement importantes, renforcées par la possibilité de bénéficier de tarifs négociés avec les partenaires de l’établissement pour les soins optiques et les prothèses auditives, garantissant alors, à chacun, de mettre en place le contrat le plus adapté à ses besoins personnels et à ceux de ses proches, optimisant la rentabilité des formules proposées.

Garantissant, à chacun, de profiter pleinement de toute l’expérience du groupe Malakoff Médéric, les formules « Ma Complémentaire Santé » constituent une solution de choix pour tout assuré social à la recherche de la meilleure solution, celles-ci permettant, en effet, à chacun, d’adapter, dans les moindres détails, sa couverture, tout en bénéficiant des tarifs particulièrement avantageux proposés par l’établissement, ainsi que des nombreux outils spécialement mis à la disposition de ses usagers par l’enseigne, leur assurant d’accéder à tous les avantages procurés par ce grand nom français du domaine de l’assurance, de la prévoyance et de la retraite complémentaire.

Les Français souscrivent de plus en plus des contrats d’assurance obsèques

vendredi, juin 15th, 2012

Permettant de soulager ses proches dans un moment difficile, l’initiative de préparer ses obsèques semble être de plus en plus souvent prise par les Français, assurés également alors de voir leurs dernières volontés respectées. Mais quel contrat choisir ?

Un contrat en capital

Choisis dans près de trois quarts des cas, les contrats en capital, qui atteignent en moyenne 3 810 €, impliquent que le souscripteur ait une certaine confiance dans le proche bénéficiaire qui sera alors chargé d’utiliser ce capital pour financer ses obsèques, dans les conditions que celui-ci avait prévu sans toutefois qu’aucune prestation précise n’ait été clairement définie et demandée.

Un contrat en prestations

Donnant l’opportunité d’organiser l’intégralité de ses obsèques avec un prestataire soigneusement sélectionné et dans les moindres détails, les contrats en prestations dont le montant moyen s’élève à 4 250 € apparaît alors comme un contrat d’assurance vie, assorti d’un autre contrat prévoyant des prestations, avec un capital qui augmente à mesure que les cotisations sont versées, l’organisateur des obsèques étant ensuite, chargé, au moment du décès, de tout mettre en place.

Un contrat d’assurance obsèques ne doit cependant pas être confondu avec un contrat d’assurance décès, ce dernier permettant au bénéficiaire de recevoir une somme d’argent sous forme de capital ou de rente variant alors selon la valeur prise au départ par le souscripteur et qui n’est pas obligatoirement destinée au financement des obsèques, même s’il s’agit tout de même d’une utilisation possible.

L’assurance auto au kilomètre, bon plan pour faire diminuer sa facture ?

jeudi, juin 14th, 2012

Représentant un poste de dépenses particulièrement important dans le budget des ménages français, la voiture reste un moyen de déplacement obligatoire pour de nombreuses personnes, qui demeurent attentives à la moindre opportunité de faire baisser leurs dépenses, les assurances au kilomètre, inspirées du modèle anglo-saxon, constituant une solution très intéressante dans cette optique.

Une formule économique pour les usagers faisant peu de kilomètres

Proposées par une grande majorité des assureurs, les formules au kilomètre peuvent se révéler être particulièrement avantageuses sur le plan économique, pouvant offrir des réductions allant de 10 % à 40 % selon la distance parcourue, mais reste vraisemblablement plus adaptées aux personnes utilisant peu leur véhicule, le bénéfice de telles solutions étant, en effet, très limité au-delà de 8 000 kilomètres réalisés dans l’année, nécessitant ainsi, de la part des usagers, une certaine attention lors de la souscription d’un tel contrat, notamment dans l’estimation de l’utilisation du véhicule.

Des procédures de contrôle différente selon les assureurs

Reposant sur la distance parcourue, le coût de l’assurance automobile au kilomètre peut rapidement augmenter en cas de dépassement de la distance prévue, raison pour laquelle l’ensemble des établissements apporte un soin tout particulier à la vérification de cette donnée, cette procédure pouvant être assurée de manière aléatoire, notamment lors d’un sinistre, ou de manière plus systématique, par l’intermédiaire d’un boîtier enregistrant l’utilisation du véhicule, à l’image de ce que propose aujourd’hui le spécialiste de cette forme d’assurance, Amaguiz, dont les forfaits débutent à 13,90 € mensuels, auquel s’ajoute 0,022 € par kilomètre.

L’Assurance Maladie redoute que les Français se détournent des médicaments génériques

lundi, juin 11th, 2012

Permettant de réaliser des économies tout à fait essentielles pour le rééquilibre, si difficile, des comptes de l’Assurance Maladie, le recours aux médicaments génériques se trouve être largement encouragé par cet organisme qui vient de réaffirmer l’importance de privilégier l’utilisation de ceux-ci plutôt que des princeps.

Une efficacité identique des génériques par rapport à leur princeps

Tendant à se détourner des médicaments génériques après les avoir très largement sollicités, les Français semblent aujourd’hui avoir quelques doutes sur l’efficacité de ces derniers, confortés dans cette idée par un rapport récent de l’Académie de Médecine, publié au mois de février dernier, contre lequel l’Assurance Maladie n’a pas tardé à hausser le ton pour venir infirmer les arguments avancés.

En effet, s’agissant des mêmes molécules de base que celles utilisées pour les princeps, seuls les excipients étant différents, l’Assurance Maladie affirme donc que l’action de ceux-ci est absolument identique et que le recours à ceux-ci doit donc se maintenir voire augmenter encore, contrairement à l’évolution actuelle qui a vu la substitution des princeps passer de 82 %, en 2008, à 72 %, au mois d’avril dernier.

Ne se contentant pas d’affirmer, l’Assurance Maladie se base, sur des faits précis pour conforter ses dires, représentés notamment par cette expérience menée sur 10 000 patients suivant un traitement par la Simvastatine 20 mg, afin de réduire le taux de cholestérol dans le sang, dont les résultats n’ont montré aucune différence, permettant donc aux 6 millions de boîtes vendues chaque année d’être remplacées par l’un de leurs génériques, sans le moindre problème.

Les professionnels de santé appelés à orienter les patients vers les génériques

Ayant déjà incité les médecins et les pharmaciens à prescrire et à proposer le remplacement des médicaments par un générique, l’Assurance Maladie réitère, aujourd’hui, sa demande en encourageant les praticiens à ne plus indiquer les lettres NS, pour Non Substituable, sur leurs ordonnances, les officines devant, pour leur part, dès qu’elles le peuvent conseiller à leurs clients d’opter pour ces solutions reprenant le principe actif original du médicament désormais tombé dans le domaine public et pouvant alors être reproduit à moindres frais, pour une mise en vente, par conséquent, à un tarif plus réduit.

Un enjeu économique de taille pour l’Assurance Maladie

En grande difficulté depuis de nombreuses années déjà, l’Assurance Maladie compte, en effet, beaucoup sur l’utilisation de ces génériques pour réussir à rééquilibrer un peu ses comptes, raison pour laquelle celle-ci a réagi extrêmement rapidement suite à la parution du rapport de l’Académie de Médecine jetant le doute sur l’efficacité de ces substances.

Permettant, à la collectivité, de réaliser des économies tout à fait intéressantes, le recours aux génériques doit donc être le plus fréquent possible, l’Assurance Maladie tablant sur un taux de remplacement de 85 % en 2012, grâce notamment à la nouvelle convention passée le 6 avril dernier avec les pharmaciens qui bénéficieront d’une rémunération proportionnelle au taux de remplacement effectivement obtenu.