Archive for the ‘Assurance animaux’ Category

SantéVet offre un chien guide de l’Association Valentin Haüy

dimanche, mai 15th, 2011

Depuis quelques années, les assurances maladie pour animaux connaissent un regain d’intérêt auprès du grand public, permettant de bénéficier d’une prise en charge pour les soins vétérinaires et offrant donc, à nos compagnons à quatre pattes, de meilleures conditions de vie. Marquées par un souci du bien-être des animaux, les professionnels de ce secteur n’en oublient toutefois pas pour autant l’aspect humain, comme le montre la dernière action de SantéVet, qui vient d’annoncer sa décision de parrainer un chien guide d’aveugle.

Fournissant une aide particulièrement importante, tant sur le plan logistique, qu’affectif, aux personnes non ou malvoyantes, la formation de ces compagnons reste toutefois particulièrement onéreuse, nécessitant en effet un certain apprentissage, débutée par le placement de l’animal en famille d’accueil, afin de le socialiser, avant de parfaire son éducation dans l’une des dix écoles de chien pour aveugles, tenues par la Fédération Française des Associations de Chiens guide d’aveugles, représentant un coût total d’environ 18 000 €.

Venant aider l’Association Valentin Haüy, l’initiative de SantéVet contribue ainsi au soutien de l’organisation, pour que celle-ci réalise son objectif, qui reste de remettre des chiens guides d’aveugles au plus grand nombre de personnes le nécessitant, chacun y trouvant ici son compte, tant l’association, pour qui ce type d’actions se révèle être très important, que l’assureur, qui montre tout l’intérêt qu’il porte aux personnes handicapées, comme le souligne Jérôme Salord, Directeur Général de SantéVet, « la société a conscience de l’importance de l’humain », s’attachant ainsi autant au bien-être des animaux de compagnie qu’ils assurent, qu’à celui de leurs propriétaires.

Bien préparer le décès de son animal de compagnie grâce à l’assurance pour animaux

dimanche, janvier 23rd, 2011

Pour beaucoup de personnes, la perte d’un animal de compagnie constitue bien souvent une épreuve difficile à surmonter, d’autant plus qu’elle implique certaines prises de décisions délicates quant aux démarches à entreprendre pour se séparer du corps de celui-ci.

S’il reste possible, en France, de procéder soi-même à l’enfouissement, sur son propre terrain, de son animal domestique décédé, il convient toutefois de respecter certaines règles ; ainsi, seuls les espèces de moins de 40 kilos peuvent faire l’objet d’une telle disposition, à condition également que celles-ci soient enterrées à une profondeur d’au moins un mètre et recouvertes de chaux. Pour les animaux plus imposants ou pour les maîtres ne disposant d’aucun terrain, une telle solution reste tout bonnement impossible, contraignants alors ceux-ci à choisir entre la crémation ou laisser leur animal au vétérinaire pour que celui-ci le conduise à l’équarrissage. Pouvant coûter entre 38 € et 170 €, selon qu’elle est individuelle ou collective, la crémation reste un moyen particulièrement apprécié des propriétaires d’animaux domestiques, dans la mesure où elle permet de récupérer les cendres de son compagnon. Il convient aussi de souligner qu’il reste également possible d’opter pour l’inhumation, dans l’un des nombreux cimetières animaliers de France, le plus ancien et le plus étendu restant, à ce jour, celui d’Asnières dans les Hauts-de-Seine. Bien que cette dernière solution présente un grand nombre d’avantages pour le propriétaire de l’animal domestique, il est important de préciser que celle-ci peut très rapidement devenir relativement coûteuse, dans la mesure où, outre les frais liés aux obsèques, il est nécessaire de s’acquitter du montant d’une concession dont le coût peut varier de quelques centaines d’euros à plusieurs milliers d’euros, rendant ainsi les cimetières animaliers difficilement accessibles aux personnes disposant de moyens limités.

Conscientes de l’ensemble de ces obstacles, certaines assurances pour animaux offrent la possibilité de bénéficier d’une prime en cas de décès de son animal de compagnie, permettant alors d’obtenir la somme d’argent nécessaire à la réalisation de funérailles. Présentant certaines conditions liées à l’âge de l’animal assuré, celles-ci obéissent bien souvent à des règles strictes, prévoyant, par exemple, une application différente, dans certaines circonstances particulières, telles qu’un accident ou un décès survenu lors d’une intervention chirurgicale. Ne requérant généralement que des cotisations de quelques euros par mois, ces assurances apparaissent comme la solution idéale pour les propriétaires souhaitant donner, à leur compagnon, une sépulture décente. Afin d’éviter tout risque d’abus, les assureurs proposant ce type de garantie ont mis en place des restrictions sévères permettant d’éviter toute escroquerie, excluant toute possibilité d’indemnisation lorsque l’animal a fait l’objet d’une euthanasie sans nécessité médicale ou bien encore lorsque celui-ci est décédé durant un combat organisé.

Constituant un moyen économique de se procurer les fonds nécessaires à l’organisation de funérailles, l’assurance décès pour animaux constitue pour un grand nombre de personnes une solution particulièrement intéressante, étant donné qu’elle permet, moyennant le versement de primes limitées, de bénéficier de la possibilité de recevoir un capital afin d’assumer l’ensemble des démarches nécessaires.

Comment la douleur des animaux est-elle prise en charge ?

dimanche, janvier 23rd, 2011

S’il y a quelques dizaines d’années seulement, les soins vétérinaires n’étaient que rarement prodigués aux animaux domestiques, les choses ont beaucoup évolué dans ce domaine et nos fidèles compagnons bénéficient, eux aussi, désormais, de leur propre médecine, leur permettant d’accéder à des prestations relativement complètes, afin qu’ils soient toujours en meilleure santé.

Des efforts particuliers ont également été faits afin que ceux-ci endurent le moins de souffrance possible au cours de ces soins mais aussi au quotidien. Ne pouvant pas exprimer leur douleur comme le font les êtres humains, chacun d’eux développe donc sa propre façon de montrer son état de détresse à ses propriétaires, raison pour laquelle il convient de prêter attention au moindre de ces signes, qui peuvent alors dénoter un certain problème physique voire un certain mal-être psychologique.

Comme pour les êtres humains, atténuer la douleur ressentie permet d’économiser une grande fatigue et ainsi de guérir plus vite, diminuant, par là-même, tout risque de complications. Il semble, dès lors, tout à fait opportun de se pencher sur cette question pour y apporter les réponses les plus adaptées possibles.

En effet, si les traitements utilisés pour réduire la douleur dans le cadre de la médecine humaine peuvent présenter des similitudes avec ceux développés spécialement pour les animaux, il reste tout à fait indispensable de ne pas prescrire soi-même ses propres traitements à son chien ou à son chat, des formules adaptées ayant été développées pour leur métabolisme, qui présente tout de même certaines différences avec celui de l’être humain.

Toute automédication est donc très fortement déconseillée, seul un vétérinaire est capable de prescrire les molécules appropriées pour une guérison efficace. Un simple comprimé d’aspirine, médicament parmi les plus classiques, régulièrement pris par les êtres humains, peut, en revanche, être fatal à un chat, s’il est donné en dose trop importante, de la même matière que le paracétamol se révèle être particulièrement toxique pour ces mêmes animaux.

Chaque espèce dispose de normes physiologiques bien distinctes et les traitements actuellement sur le marché sont donc élaborés en fonction des besoins propres à chacune d’elles, tandis que les dosages sont aussi étudiés en accord avec la taille et le poids de chaque race, pour les chiens notamment, les animaux plus petits requérant, bien évidemment, des doses moindres.

Disponibles sous différentes formes, en comprimés, en solutions buvables ou encore injectables…, le vétérinaire peut aussi décider de combiner plusieurs de ces prescriptions, certains troubles ne pouvant être apaisés que par l’une de ces formules plus efficace alors.

Des traitements préventifs peuvent aussi être parfois conseillés, avant une intervention chirurgicale, par exemple, afin d’éloigner les risques d’infection notamment.

Même si les traitements médicamenteux restent indispensables, l’attention portée aux animaux de compagnie apparaît également comme un élément essentiel dans le processus de guérison, de la même manière que les propriétaires de chiens et de chats semblent présenter moins de problèmes de santé, du fait de la simple présence de ceux-ci, qui, selon plusieurs études menées, au Royaume-Uni, en Autriche ainsi qu’en Australie, réduirait l’hypertension artérielle et, par conséquent, les risque d’AVC ou encore de crise cardiaque.

L’assurance de ses animaux domestiques

dimanche, janvier 23rd, 2011

Quel que soit votre animal domestique, chien, chat ou rongeurs, les compagnies d’assurance ont développé différentes garanties d’assurance santé, d’assurance responsabilité civile ou même d’assurance décès.

Les assurances disponibles

L’assurance santé des animaux domestiques est conçue pour couvrir les dépenses de consultations vétérinaires, médicaments et chirurgies dès lors qu’il s’agit de traiter des accidents et des maladies. En effet, les traitements consécutifs à une  tare génétique son exclus. L’assurance santé peut être valablement souscrite pour les chats, les chiens ainsi que les rongeurs et furets.

L’assurance décès animaux est prévue pour les chats, les chiens et les furets, pour couvrir les frais liés à un décès prématuré de l’animal.

L’assurance responsabilité civile concerne exclusivement les chiens, notamment les chiens d’attaque et de défense de catégorie 1 et 2.

Les conditions des assurances pour animaux

Variables selon les compagnies, les conditions d’assurance portent sur
– la limite d’âge de l’animal qui, pour les chiens et les chats, va de 5 à 10 ans selon les contrats ;
– l’identification et les vaccins qui sont des actes obligatoires ;
– les chiens dangereux qui peuvent d’office être exclus par certaines compagnies.

Les prestataires qui proposent des assurances animaux

Les principales compagnies qui offrent des garanties spécifiques pour les animaux sont

– Canisante ;
– Chienchatsante ;
– ECA Assurances ;
– Generali ;
– GMF-Fidelio ;
– Groupama;
– SanteVet ;
– Transanet…

Une formule d’assurance santé adaptée

En matière d’assurance santé, les offres sont multiples et le montant de la prime d’assurance sera fonction du taux de remboursement.

La plupart des contrats prévoient une prise en charge de 50% à 100% des dépenses de santé de l’animal.

Les dépenses de santé sont strictement entendues comme les dépenses liées à la maladie ou à l’accident. Toutes les dépenses de soin ne sont pas prises en charge. L’assurance ne couvre pas les frais liés à la gestation, ni les prothèses, ni le toilettage.

Le niveau de la prise en charge est à pondérer par le montant de la franchise et le plafond de remboursements annuel.

A la suite du contrat, pour obtenir le remboursement des frais, il suffit de renvoyer à l’assureur la feuille de soins remplie par le vétérinaire.

Les Nouveaux Animaux de Compagnie ont aussi droit à leur assurance

jeudi, janvier 20th, 2011

S’il y a encore quelques dizaines d’années seulement, les animaux domestiques étaient exclusivement représentés par des chiens et des chats, ceci n’est aujourd’hui plus réellement le cas et bon nombre de Français se sont mis à adopter des compagnons plus surprenants, désignés depuis 1984 par l’expression « nouveaux animaux de compagnie », ou plus communément par les initiales NAC. Regroupant une grande diversité d’espèces, cette catégorie comporte notamment des furets, des rats, des oiseaux ou encore des reptiles.

Malgré leur présence de plus en plus courante dans les foyers français, il convient de souligner que la détention de certains NAC reste soumise à des règles strictes, parmi lesquelles figure, bien souvent, l’obligation de posséder un certificat de capacité. Certaines de ces espèces, aujourd’hui considérées comme « domestiques », permettent toutefois de bénéficier, désormais, de mesures particulièrement allégées dans ce domaine-là, faisant donc passer à 5 % le nombre d’habitations françaises accueillant un NAC.

Pouvant présenter une santé relativement fragile, le traitement des NAC constitue généralement une source de dépenses considérable pour leurs propriétaires, dont la recherche d’un vétérinaire peut, en plus, se être révéler particulièrement délicate, ces espèces pouvant parfois présenter de grandes particularités. Conscients de la présence d’un nouveau marché, certains assureurs proposent de souscrire une assurance exclusivement développée pour les NAC, permettant ainsi de bénéficier de la prise en charge des dépenses liées aux soins qui doivent leur être prodigués.

Moyennant le versement d’une cotisation moins élevée que pour les animaux de compagnie traditionnels que sont les chiens et les chats, l’assurance pour les NAC présente un certain nombre d’avantages, en prévoyant, par exemple, le remboursement des frais liés à certaines maladies particulièrement répandues, pour un coût relativement réduit, pouvant s’élever, dans le cas des petits mammifères, à une cotisation d’environ 5 € par mois.

Avant toute souscription, il reste cependant préférable de bien vérifier l’ensemble des conditions nécessaires à l’application des garanties proposées, certaines compagnies imposant un certain nombre de démarches obligatoires, afin de bénéficier de la couverture proposée. Ainsi, bien souvent, pour pouvoir prétendre à une telle protection, un furet doit être à jour de ses vaccinations et avoir fait l’objet d’un marquage avec une puce électronique ainsi que d’un enregistrement auprès du fichier national des félins, l’assureur pouvant, à défaut de l’un de ces éléments, refuser de procéder au remboursement des dépenses engagées par le propriétaire.

Encore peu répandus aujourd’hui auprès du grand public, les NAC peuvent représenter une source de dépenses plus importantes que les chiens et chats dont les affections sont aujourd’hui particulièrement connues, justifiant donc encore davantage la souscription d’une assurance santé pour ceux-ci. Avant d’adopter de tels animaux, il est donc indispensable de bien considérer chaque démarche qu’il faudra alors entreprendre, tant pour ce qui concerne les règles régissant leur détention, que pour les soins qu’il conviendra de leur apporter, en ayant bien conscience du fait que ceux-ci restent des êtres vivants requérant une attention de chaque instant.

Les animaux domestiques suivent-ils une bonne alimentation ?

jeudi, décembre 23rd, 2010

Si l’alimentation des êtres humains est importante et fait l’objet d’une attention de plus en plus grande, celle des animaux domestiques doit également être surveillée de près afin de les maintenir en bonne santé. Une enquête, menée par l’Institut BVA, pour les jardineries Gamm Vert, au mois de juin 2010, auprès de 992 personnes, a donc cherché à dégager les habitudes des Français dans ce domaine, afin de savoir si celles-ci sont bonnes ou si des changements doivent y être apportés.

Avec près de 8 millions de chiens et près de 11 millions de chats, les animaux de compagnie occupent une place importante dans la vie des Français, raison pour laquelle cette enseigne de la grande distribution a souhaité faire réaliser cette étude, qui a alors permis de démontrer, tout d’abord, que leur propriétaire optent généralement pour les aliments spécialement prévus pour eux, dont 72 % pour les formules toutes prêtes, reconnues pour leur côté pratique.

Il semble, en revanche, que ceux-ci aient du mal à se rendre compte du surpoids de leurs animaux domestiques alors que 40 % d’entre eux présentent bien des problèmes de cet ordre et que seulement 13 % ont conscience de leur état.

Ces deux résultats sont la conséquence directe d’un rythme de vie effréné qui ne laisse pas le temps aux propriétaires de chiens et de chats de préparer de bons petits plats pour leurs animaux domestiques et qui ne disposent pas non plus du temps nécessaire pour leur faire faire l’exercice quotidien dont ils ont besoin, ceux-ci devenant de plus en plus sédentaires et tendant donc à souffrir d’une surcharge pondérale néfaste pour leur santé.

Cette étude révèle que ces éléments sont d’autant plus vrais chez les cadres supérieurs, qui entrent dans cette catégorie à 78 %, chez les urbains, pour 76 % d’entre eux, et chez les 35 à 49 ans, à hauteur, cette fois-ci, de 79 %.

De manière générale, les chats apparaissent comme les plus gros consommateurs de croquettes et de pâtées, 77 % d’entre eux suivant ce régime contre 65 % seulement des chiens, le reste de leur alimentation se composant, en moyenne, de 24 % de mélanges d’aliments conçus pour les animaux ou de consommation courante et de 5 % de restes.

Aujourd’hui, les animaux de compagnie ont également souvent droit à une friandise, surtout les chiens qui sont 53 % à recevoir effectivement ce genre de produits, et même une fois par semaine pour 34 % d’entre eux, tandis que 75 % des chats n’ont jamais goûté à ces gourmandises.

Il apparaît, ici encore, que certaines catégories de la population sont plus enclines à ce type d’habitudes, c’est ainsi le cas des hommes, des urbains et des jeunes qui entendent, sans doute, rompre la monotonie des repas de leurs animaux domestiques en y ajoutant un peu de fantaisie.

Pour ce qui concerne l’état général de leurs chiens et de leurs chats, 98 % des propriétaires considèrent qu’ils sont en bonne santé et ne se rendent pas compte, malgré certaines remarques formulées par leur entourage, qu’ils sont parfois en surpoids, peu d’animaux de compagnie suivent, en effet, actuellement un régime, malgré les nombreuses recommandations vétérinaires.