Archive for the ‘Assurance bateau et loisirs’ Category

Une Vente Flash mise en place par BNP Paribas sur son assurance Mobileo 2

vendredi, avril 19th, 2013

Devenus de véritables objets indispensables au quotidien, les appareils nomades représentés, non seulement, par les ordinateurs portables, mais aussi, par les appareils photos numériques, les téléphones portables, ainsi que les smartphones, sont donc exposés à différents risques, de vol et de casse notamment, que BNP Paribas propose, aujourd’hui, de couvrir, grâce à la souscription d’une assurance spécialement conçue pour cela, baptisée Mobileo 2, offrant alors une protection optimale au meilleur tarif, la Vente Flash du moment la rendant encore plus attractive.

Mobileo 2 de BNP Paribas protègent une large gamme d’appareils

Ne cessant de se développer, les appareils nomades deviennent, en effet, de plus en plus nombreux, raison pour laquelle BNP Paribas a décidé de mettre en place une assurance permettant le remplacement ou le remboursement de ces derniers, en cas de vol ou de casse, dès lors que l’objet concerné avait été acheté neuf et moins de cinq ans auparavant. Très utile, l’assurance Mobileo 2 présente, en outre,  une souscription tout à fait simplifiée, donnant donc l’opportunité, à tous les membres du foyer, de profiter des avantages procurés par cette solution très intéressante en termes de prestations, pour un coût de seulement 7 € par mois.

BNP Paribas offre 2 mois de cotisation sur Mobileo 2

Pouvant, en effet, du fait de leur utilisation quotidienne, faire l’objet d’un vol avec agression ou effraction, ou bien encore de dommages accidentels, et afin de faire prendre conscience,  à ses usagers, de l’importance et de l’utilité d’un tel service, BNP Paribas a donc décidé d’offrir, du 8 au 17 avril 2013, dans le cadre d’une Vente Flash, la gratuité de 2 mois de cotisations, garantissant alors de pouvoir profiter encore plus sereinement de cette formule et surtout de ces appareils, qui nous accompagnent désormais partout et qu’il convient donc de protéger au mieux contre les risques auxquels ils se trouvent exposés chaque jour, aussi bien pour ce qui concerne le vol que la casse.

La météo de cet été n’a pas fait que des malheureux

mercredi, août 17th, 2011

Cet été a été très mauvais en terme de météo. Pluie, grisaille, froid… ont considérablement plombé les vacances des juilletistes et, pour une bonne partie, également des aoûtiens.

Ce n’est pas le premier à être aussi maussade. Alors justement comme le phénomène aurait plutôt tendance à se confirmer, certains voyagistes ont eu le nez creux et l’heureuse idée de proposer à leurs clients une assurance contre le mauvais temps, l’assurance soleil.

Le concept est né en 2008 et il est donc aujourd’hui proposé par quelques enseignes comme Pierre&Vacances, Maeva, Maramara ou bien encore les campings Sunêlia. Et, compte tenu de ce que nous évoquions plus haut, nul ne sera étonné de son succès grandissant, particulièrement cet été.

L’assureur Aon, père du concept, précise :

« On a dépassé les 20 000 souscripteurs au 31 juillet. C’est bien plus que le double de l’année dernière ».

Aon ne s’était pas préparé, c’est certain, à signer autant de chèques cette année. Parmi les 200 destinations hexagonales concernées par ces offres, un quart a actuellement ouvert droit à dédommagements, c’est en tous les cas ce que rapporte Metnext, filiale de Météo France.

Lors des années passées,  seuls 5% de ceux qui avaient souscrit ce type de contrat d’un nouveau genre avaient reçu un dédommagement à cause d’une météo maussade. Mais cette année, nous en sommes déjà à plus de 25%, et ce, sans prendre en compte le mois d’août qui, c’est vrai, semble toutefois meilleur que juillet.

Par ailleurs, on ne sera pas non plus surpris d’apprendre que les vacanciers les plus concernés seront cette année ceux qui ont pris leurs quartiers d’été sur la côte Atlantique et dans le Nord du pays.

Cela dit, tout le monde ne touchera pas les mêmes dédommagements car ceci dépendra directement du voyagiste auprès duquel on a souscrit le contrat.

Par exemple, si l’assurance est comprise chez sunêlia, elle coûte 12 euros de plus chez Marmara et 69 chez Pierre&vacances pour lequel tout est directement inclus au sein du pack « multirisques ».

Ainsi, on pourra noter quelques différences entre les voyagistes : si Marmara garantit quatre jours de soleil par semaine ou reverse 300 euros à ses clients, Pierre&Vacances ne garantit que trois jours d’ensoleillement ou 150 euros aux moins chanceux.  Et ce, tout en sachant que par « un jour de soleil » il faut entendre une journée comprenant « au moins deux heures de soleil ardent et sans nuage entre 10h00 et 18h00 ».

Parce que la météo estivale est de plus en plus incertaine et que cette année leur a fait la meilleure des publicités gratuites possible, les compagnies d’assurance, elles, se frottent les mains et espèrent bien, dès l’été prochain, augmenter de manière significative le nombre de leurs souscripteurs échaudés…Ou plutôt rincés !

Propriétaires de bateau, avez-vous la bonne couverture ?

jeudi, février 3rd, 2011

Par passion, par envie de découvrir une nouvelle manière de passer des vacances ou bien encore pour une occupation à titre de résidence principale, certaines personnes peuvent être amenées à réaliser l’acquisition d’un bateau. Si la garantie des dommages causés par celui-ci aux tiers, contrairement à l’automobile, reste bien souvent prise en charge par l’assurance responsabilité civile de son propriétaire, il en va tout autrement pour les dommages que pourrait subir le bien lui-même ou les objets qu’il contient, une telle protection devant alors faire l’objet d’un contrat spécifique.

En matière d’assurance bateau, il convient de distinguer deux types de couvertures totalement différentes, la première concernant l’ensemble des objets et accessoires équipant l’embarcation, dénommée « garanties vol », offrant la possibilité de profiter du remboursement des biens se trouvant sur celle-ci et dérobés ou endommagés au cours d’un vol, tandis que la seconde, désignée sous le terme de « garanties corps », permet, quant à elle, de bénéficier de la prise en charge des réparations dont le bateau pourrait avoir besoin, suite à la survenue de certains événements tels qu’un incendie ou encore un naufrage.

Permettant de profiter d’une protection en cas de cambriolage, la garantie «vol partiel » s’avère être particulièrement intéressante dans le cas d’embarcations utilisées pour l’habitation, dans la mesure où ceux-ci nécessitent bien souvent un certain nombre d’équipements coûteux pour la vie quotidienne. La couverture qualifiée de « vol moteur » peut aussi se révéler être utile lorsque le bateau assuré dispose d’un moteur amovible, cet élément, ayant bien souvent une grande valeur, reste, en effet, toujours facile à subtiliser, même si celui-ci doit toutefois être protégé par une alarme afin de limiter les risques, l’indemnisation ne pouvant généralement intervenir qu’à cette condition-là. Contrairement aux automobiles, cette solution n’offre aucune garantie contre le vol de l’embarcation elle-même, il convient donc, pour cela, de souscrire une assurance « vol total », permettant alors de bénéficier du remboursement de la valeur du bateau si celui-ci venait à être dérobé.

Afin de profiter d’un maximum de couverture, il est aussi particulièrement recommandé d’opter pour une « garantie corps », celle-ci offrant la possibilité, aux propriétaires de bateau, de bénéficier d’une prise en charge lors de la survenue d’un accident grave, tel qu’un incendie ou encore un naufrage. Pouvant entraîner des frais de réparation particulièrement onéreux, cette protection s’avère être indispensable pour l’ensemble des propriétaires d’embarcation ; souvent accompagnée d’une option permettant de profiter aussi de la prise en charge des frais liés au remorquage, celle-ci offre la possibilité, aux propriétaires de bateaux, de bénéficier de leur bien en toute sérénité.

Concernant, en principe, des montants élevés, l’assurance bateau reste une garantie particulièrement importante, lorsqu’il s’agit de considérer la fragilité et la vulnérabilité de ces embarcations. La grande variété des couvertures disponibles permet, en outre, à chacun, de trouver le contrat le plus adapté à ses moyens financiers ainsi qu’aux nécessités liées à la pratique de la plaisance nautique. Particulièrement accessible, un grand nombre de compagnies traditionnelles propose aujourd’hui la souscription de ce type d’assurances ; afin de profiter de prestations encore plus adaptées, il est aussi possible d’entrer en contact avec une enseigne plus spécialisée, permettant alors de bénéficier de l’expertise d’un professionnel du domaine de l’assurance maritime.

Navigation de plaisance, êtes-vous bien assurés ?

vendredi, janvier 28th, 2011

Contrairement aux autres moyens de transport, les bateaux obéissent à une législation particulière, entraînant notamment l’absence de l’obligation de souscrire à une assurance couvrant les dommages pouvant être causés aux tiers à l’occasion de leur utilisation, comme le prévoient les articles L 324-1 du Code de la Route et L 211-1 du Code des Assurances, pour les véhicules terrestres à moteur. Toutefois, étant donné les risques encourus par ces embarcations et les dégâts que celles-ci peuvent causer aux biens et aux personnes, la souscription d’une telle garantie reste particulièrement recommandée, d’autant plus que, depuis une dizaine d’années maintenant, l’utilisation de bateaux de plaisance a connu une forte démocratisation.

Si, généralement, l’assurance multirisques habitation souscrite pour sa résidence principale permet de bénéficier d’une garantie en responsabilité civile pour l’ensemble des activités de loisirs, il convient toutefois de vérifier que les limitations introduites, dans le cadre de la navigation de plaisance notamment, restent compatibles avec l’embarcation utilisée, celle-ci se trouvant, en effet, souvent restreinte à une certaine catégorie de bateaux uniquement, distingués alors par leur longueur et par la puissance de leur moteur. Dans le cas où celle-ci ne prendrait pas en charge l’activité choisie, une assurance spécifique, dénommée assurance plaisance, doit donc être mise en place.

De la même manière, l’assurance multirisques habitation couvrant, en principe, la famille du souscripteur, peut, en revanche, exclure les autres tiers qui pourraient faire partie de l’équipage du bateau, c’est pourquoi il est également essentiel de bien veiller à ce que ceux-ci soient bien pris en charge, afin de qu’ils disposent effectivement, en cas d’incident, d’une indemnisation. Dans le cas contraire, il reste toujours possible de recourir à une assurance individuelle accident, permettant alors de protéger aussi bien le pilote que ses passagers.

Lorsque l’ensemble des personnes utilisant le bateau bénéficie d’une couverture, il est alors nécessaire de vérifier que l’embarcation elle-même présente aussi une bonne prise en charge ; en effet, la survenue d’un incident entraîne généralement des frais relativement élevés pour lesquels il est préférable d’être bien protégé, la souscription d’une « assurance corps » s’avérant donc être indispensable. Le vol, restant également un risque à envisager, requiert lui aussi de sérieuses garanties, déclinées en trois formules « vol total », « vol partiel » et « vol moteur », offrant, pour chacune d’elles, des protections bien spécifiques.

Pouvant donner lieu à un certain nombre d’incidents relativement coûteux, la navigation de plaisance a également permis de mettre en place des garanties optionnelles, comprenant notamment une assistance juridique, la possibilité de bénéficier d’une assistance personnelle ou encore la prise en charge de toutes les opérations mises en œuvre pour l’enlèvement d’une épave gênant la circulation maritime. Afin de bénéficier de la protection la plus étendue, il est aussi conseillé de prévoir que le bateau soit également couvert lors de ses déplacements à terre, requérant, pour ce faire, la vérification du contrat d’assurance automobile et éventuellement la souscription d’une extension de celui-ci pour la remorque.

Que couvrent exactement les garanties vols des assurances bateau ?

dimanche, janvier 23rd, 2011

Que ce soit pour y passer ses vacances ou pour une occupation à titre de résidence principale, l’achat d’un bateau tend, depuis une dizaine d’années environ, à se démocratiser, entraînant dans son sillage une nouvelle forme de délinquance, se traduisant par une augmentation du nombre de vols d’embarcations et de cambriolages. Appartenant à la catégorie des véhicules, ceux-ci peuvent, au même titre que les voitures, faire l’objet d’une garantie contre le vol, même si un certain nombre de divergences apparaissent alors par rapport aux contrats applicables tant aux autres moyens de transport qu’aux habitations. Obéissant à des modalités bien spécifiques, l’assurance bateau comporte trois domaines clairement distincts, couvrant chacun des événements différents.

Les assureurs offrent donc, tout d’abord, la possibilité de souscrire, pour l’embarcation, une garantie « vol total », correspondant à la subtilisation, pure et simple, de l’ensemble de l’embarcation. Particulièrement sujets à ce risque-là, dans la mesure où un grand nombre de bateaux ne disposent pas d’un dispositif de sécurité très perfectionné, une délinquance s’est rapidement développée autour de différents types d’embarcations, se caractérisant, par exemple, pour Saint-Tropez, par une augmentation considérable du nombre de vols de yachts, la gendarmerie maritime n’hésitant pas à comparer ce type de méfait à un vol de mobylettes, tant l’opération se révèle être simple. De la même manière que pour une automobile, il convient de bien vérifier, au moment de la souscription, l’étendue de la garantie, certains contrats pouvant proposer le remboursement de la valeur à neuf de l’embarcation, alors que d’autres impliquent la prise en compte de la vétusté du bien dérobé pour déterminer une « valeur agréée ».

Les bateaux requérant souvent un certain nombre d’équipements coûteux pour leur utilisation, ainsi que la mise en place d’appareils spécifiques à leur utilisation en tant que résidence principale, il s’avère être aussi nécessaire de souscrire une protection offrant la possibilité de bénéficier d’une prise en charge en cas de vol de ceux-ci. Désignée généralement sous le terme de garantie « vol partiel », celle-ci s’apparente au dispositif mis en place pour procéder à l’indemnisation en cas de cambriolage survenu dans une résidence principale, permettant aussi, dans la majorité des cas, de bénéficier du remboursement de l’ensemble des éléments ayant subi des détériorations lors de l’effraction. Il est également important de souligner ici que, dans la plupart des cas, ce dispositif ne couvre le souscripteur qu’en cas d’effraction ; ainsi, tous les objets placés dans des endroits non sécurisés ne peuvent permettre de prétendre à quelque prise en charge que ce soit, raison pour laquelle il est indispensable de bien veiller à prendre, malgré tout, le moins de risques possible.

Du fait de leur construction, certains bateaux, équipés de moteurs de type hors-bord, peuvent aussi rendre la souscription d’une assurance spécifique tout à fait judicieuse. Qualifiée de garantie « vol moteur », celle-ci permet, en effet, de se voir rembourser cet équipement particulièrement coûteux au cas où celui-ci viendrait à être dérobé, à condition cependant que celui-ci ait été équipé d’un dispositif antivol, en état de fonctionnement, lors du méfait, l’assureur pouvant, à défaut, refuser, une fois encore, d’accorder toute indemnisation.

L’assurance navigation de plaisance : une souscription fortement conseillée

dimanche, janvier 23rd, 2011

Comptant près d’un million de bateaux de plaisance immatriculés et même si un bon nombre d’entre eux sortent très fréquemment en mer, la France n’a toutefois pas prévu de contraindre leur propriétaire à se doter d’une protection garantissant les dommages causés à une autre embarcation ou à des tiers, ni ceux que celle-ci pourrait être amenée à subir. Il apparaît cependant préférable, comme pour un véhicule automobile, pour lequel la souscription a, en revanche, été rendue obligatoire, d’opter, dans ce cas-là également pour une assurance couvrant l’ensemble de ces risques, tant les dégâts susceptibles de se produire peuvent être coûteux, d’autant plus que, au cours de la navigation au large des côtes italiennes, par exemple, le conducteur d’un bateau peut être amené à être contrôlé et à devoir fournir ce type de pièces.

Comme l’ensemble des véhicules à moteur, il semble, en effet, évident qu’un bateau peut causer de graves dommages, tant matériels qu’humains, aussi bien pour les autres embarcations que pour les passagers, les nageurs, les plongeurs… et qu’il convient de se protéger au mieux, puisqu’ils engagent bel et bien la responsabilité du propriétaire du bateau, les victimes pouvant, bien évidemment, entamer des poursuites à son encontre, afin d’obtenir réparation pour les préjudices subis.

Lorsque la décision est prise de souscrire une telle garantie, une diversité de formules se présentent alors, différenciant plusieurs éléments distincts avec, d’une part, le bateau, et d’autre part, ses passagers. En complément de la responsabilité civile qui revêt le caractère le plus important, il est aussi possible et même recommandé de protéger le véhicule lui-même, sa simple utilisation entraînant une usure importante et donc logiquement des frais de réparation conséquents qu’il est tout à fait appréciable, le moment venu, de voir pris en charge par une assurance, plutôt que de devoir les assumer soi-même.

Ce choix paraît ainsi d’autant plus judicieux que de nombreux cas de figure sont prévus, depuis la tempête jusqu’à la collision, en passant également par l’abordage ou encore le naufrage. Des garanties optionnelles peuvent même y être ajoutées en cas de perte ou de vol notamment, procurant, de cette manière, la meilleure protection possible.

Une fois encore, pour ce qui concerne le vol, plusieurs solutions sont alors proposées prévoyant seulement le « vol partiel », c’est-à-dire celui des effets personnels laissées sur l’embarcation, le « vol moteur », pour lequel les assureurs exigent la mise en place d’un système antivol, ou bien encore le « vol total », qui requiert, pour sa part, la détermination du montant de l’indemnisation, entre la « valeur à neuf » ou une « valeur agréée », servant de plafond à un calcul basé sur la vétusté du bien, au moment de la survenue du sinistre.

Si la plupart des contrats couvrent également les coûts occasionnés par le retrait d’une épave pouvant gêner la navigation, il convient toutefois de bien vérifier ce point, les montants s’avérant généralement être très élevés lorsqu’il s’agit de faire réaliser un remorquage, rendant donc la fourniture de ce genre de prestations tout à fait indispensable.