Alors que la privatisation de VSP est au cœur des débats politiques depuis les élections, les leaders de la CITU s’apprêtent à révéler si cette promesse électorale sera tenue ou non. Une attente forte se profile quant à cette décision cruciale, marquant ainsi une heure de vérité pour les citoyens et l’avenir de VSP.
Vers la reconnaissance d’une promesse électorale cruciale
Depuis un certain temps, les citoyens attendent avec impatience la concrétisation de l’engagement pris par le Telugu Desam Party (TDP) et le Jana Sena Party (JSP) de s’opposer à la privatisation de l’usine d’acier de Visakhapatnam, la VSP.
L’opposition s’organise
Les leaders de la CITU ont récemment pris la parole lors d’une conférence de presse pour rappeler aux dirigeants politiques locaux leurs promesses pré-électorales concernant le maintien de la VSP dans le secteur public.
- Rappel des actions de protestation des travailleurs de l’acier et des organisations de la société civile sur une période de 1 225 jours.
- Appel lancé au chef du gouvernement local pour saisir l’opportunité offerte par son influence au niveau central pour empêcher la privatisation de la VSP.
Des revendications claires
Les représentants de la CITU ont souligné plusieurs points cruciaux lors de cet appel à l’action, notamment :
- La nécessité de préserver les emplois des 8 500 personnes impactées par la privatisation.
- L’importance de respecter l’accord de 2017 sur la révision des salaires des employés de la VSP.
- La fusion proposée entre la VSP et la SAIL pour renforcer le secteur de la sidérurgie.
- L’allocation de fonds conséquents, à hauteur de 5 000 crores de roupies, pour garantir la viabilité de la VSP.
Une pression politique nécessaire
Il est désormais temps pour les dirigeants politiques concernés de transformer leurs discours pré-électoraux en actions concrètes, et de faire pression sur le gouvernement central pour le respect de la volonté populaire exprimée en faveur du maintien de la VSP dans le giron public.